Présentation de la Maison CK Traiteur
Cela fait maintenant 15 ans que la Maison CK Traiteur est à vos côtés pour réaliser vos prestations avec goût, professionnalisme et sens du service.
Notre travail s’articule autour de nos valeurs, chaque jour, incarnées par nos collaborateurs et notre dirigeant Bastien COUSSOT.
Nos valeurs
- Ecoute : Prêter attention à ce que quelqu’un dit, pour l’entendre et le comprendre.
- Partage : Fait d’avoir quelque chose en commun avec les autres mais aussi de diviser quelque chose pour en faire la distribution (idées, objectifs, tâches…).
- Confiance : C’est ce qui fait que chacun de nous va pouvoir s’engager, se montrer, agir, sans être inquiet de l’attitude des autres, sans avoir peur de se mettre à nu, sans craindre qu’un autre en profite.
- Bon sens : Capacité à bien juger, sans passion, en présence de problème qui ne peuvent être résolus par un raisonnement scientifique.
- Méticulosité : Qui manifeste beaucoup de soin et de minutie dans l’exécution de son travail.
- Rigueur : caractère de quelqu’un, de quelque chose qui se distingue par une exactitude, une logique, une précision parfaite.
- Solidarité – Cohésion : Se caractérise par un groupe de personnes liées par une communauté, qui choisissent ou ressentent une moralité d’assister les autres personnes et réciproquement.
Notre vision
- Notre client : Nous mettons tout en place pour répondre à ses attentes et besoins, dans le but unique de le satisfaire.
- Notre passion : Se faire plaisir en faisant plaisir à notre client par la qualité de nos prestations.
- L’équipe : Notre équipe est un groupe d’individus partenaires qui s’engagent dans un but commun.
- Reconnaissance : Sentiment qui incite à se souvenir d’un bienfait reçu en le valorisant par un retour significatif.
- Développement : Synonyme de croissance. Fait de grandir, de croître et de progresser par nos challenges.
- Profitabilité : Rapport entre résultat et chiffre d’affaires, doit être bon pour durer dans le temps et réinvestir.
Un peu d’histoire…
Il y a peu, Bastien COUSSOT, dirigeant, était interviewé par Ouest France, nous vous laissons, à travers ces quelques lignes, découvrir son histoire !
Parti de rien, Bastien Coussot est un patron heureux !
Il répugne à mettre les gens dans des cases, boycotte certains mots ou des formules toutes faites. Ne dites pas à Bastien Coussot que rien n’est impossible.
À 36 ans, il dirige CK traiteur et a ouvert une seconde entreprise de livraison de plateaux-repas Goudici à Vigneux de Bretagne. Une dizaine de salariés, sans compter tous ceux recrutés, sans peine dit-il, pour les extras. « L’histoire n’était pas prévue. Chef d’entreprise, non plus », sourit Bastien, fier autodidacte.
Sans diplôme
À 15 ans, il décroche. L’école n’a pas su le retenir. Il tente un CAP de pâtisserie qu’il abandonne. Il traîne et s’enflamme pour les matchs de foot à la Beaujoire avec les copains. « J’ai vivoté jusqu’à mes 20 ans. » Mais quand femme et enfant s’invitent dans sa vie, il prend un autre cap. « Je me suis mis dans le travail. » Avec fougue, comme si l’énergie avait été étouffée toutes ces années. En suivant son intuition, pistant des « mentors » susceptibles de combler son CV dégarni, toquant à la porte de la CCI dès que l’occasion se présente.
Il commence comme animateur de grande surface, et cuisine des paëllas au rayon frais. Sollicité par les clients, il s’improvise cuisinier à domicile et devient traiteur. Un jour, il a demandé à l’un de ses clients, un industriel s’il pouvait lui donner quelques petits conseils pour gérer sa boîte. Le patron l’a aussitôt pris sous son aile. « Il m’a appris à piloter une entreprise. À chaque étape de ma vie, des gens m’ont boosté ».
Vous avez dit pénible ?
Aujourd’hui sa petite entreprise se porte bien. Un million de chiffre d’affaires, en hausse de 15 % l’an dernier. « Mais il y a des choses qui n’apparaissent pas au bilan », aime dire le jeune patron qui a affiché dans tous les coins de son bâtiment, les valeurs de CK Traiteur, le respect, l’autonomie, l’écoute… Ses salariés sont coachés, formés. La nouvelle organisation de l’entreprise, c’est eux qui s’y collent.
Comme il se bat contre les idées toutes faites, il rêve d’adoucir l’image de la restauration. « Ce n’est pas forcément un métier pénible où on fait 60 heures par semaine ». Ses salariés prennent des vacances l’été, ne travaillent pas le dimanche et la boîte ferme entre Noël et le Nouvel an. Le jeune patron prend encore le temps de jouer au foot avec ses copains du quartier. Un homme heureux. C’est lui qui le dit.
Source : Ouest-France
Publié le 10/06/2017